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Jeu de piste sur internet :
Le début d’année commençait bien pour la liberté d’expression sur le site, en effet je recevais sur l’adresse administrateur@lamastre.net un commentaire de soutien à monsieur le maire au sujet de son éditorial du bulletin municipal, cette contribution m’attaquait bien sûr directement en tant qu’auteur de l’analyse critique que j’avais signée.
un extrait :
Citoyen de la Republique xx-maurice96-xx@live.fr 90.53.105.25 |
Envoyé le 31/12/2012 à 9:18
Bonsoir, visiblement, ce site – censé représenter LAMASTRE sous ses meilleurs aspects, je suppose – n’est visiblement qu’une plate-forme dédiée à la critique systématique des actions de monsieur le Maire. Alors, puisqu’il en est ainsi, je me permets, à mon tour, de vous critiquer ! Tout d’abord, vous devriez reconnaître que monsieur le Maire, Jean-Paul Vallon, a un talent littéraire, rien qu’en lisant la phrase d’accroche (« L’année se termine et les nuages noirs s’amoncellent dans un ciel que l’on aimerait plus étoilé pour les années qui s’annoncent »), et nous avons beaucoup de chance que ce soit lui, et non un quelconque porte-plume, qui ait rédigé cet éditorial. Franchement, combien de Maires écrivent leur propre « édito » ? Passons. |
Cette contribution, longue, argumentée et porteuse de détails précis ne pouvant émaner que de personnes au fait des actions municipales et des travaux à l’Hôpital en cours avait un ton et une richesse frisant l’idolâtrie et le culte de la personnalité, l’adresse par laquelle elle avait été postée était xx-maurice96-xx@live.fr , adresse peu parlante, pouvant avoir été crée pour l’occasion et le commentaire était signé « un citoyen indigné ». Elle soutien un élu qui a pour lui la légitimité du suffrage électoral ce dont les auteurs pourraient se prévaloir à visage découvert.
La déontologie journalistique d’information impose de vérifier ses sources, j’ai donc écrit par retour de courriel à l’adresse xx-maurice96-xx@live.fr pour lui demander de se présenter, préalable qui me paraissait nécessaire avant de publier cette contribution enflammée mais qui avait le mérite d’exister.