La charte du commerce équitable.
Le commerce équitable doit être :
– Solidaire. Il doit faire travailler en priorité les producteurs les plus défavorisés.
– Juste. Le prix doit être défini de manière contractuelle en accord avec le producteur. Il doit lui garantir une rémunération juste et prendre en compte ses besoins et ceux de sa famille en terme de formation, de santé et de protection sociale.
– Direct. Une relation directe doit s’établir entre le producteur et le consommateur afin de maximiser la marge du producteur.
– Transparent. La filière Equitable doit fournir une information totale sur le producteur et les produits (leur origine et leur parcours, ce qui implique un contrôle à chaque étape du processus).
– Digne. Garantir des conditions de travail et un salaire décents aux salariés dans toutes les étapes de fabrication du produit.
Commerce équitable…table .
Quand on a lu la charte on s’aperçoit que les objectifs affichés sont du genre « c’est pas gagné d’avance. »
Question équité, on ose même dire que, bizarrement, même par ces temps de chômage, « y’ a du boulot ». Et pas qu’un peu ! Quand elle se mêle de commerce la Justice éprouve encore bien des difficultés pour équilibrer les plateaux de sa fameuse balance.
Julie Rigoulay se propose d’en parler avec nous au centre multi média,
jeudi 7 mars à 20h 30.
Invité de marque, le café sera bien présent parmi nous, en mots et en tasses, car il est prévu qu’il soit largement évoqué puis dégusté comme d’autres produits équitables tels que thé, chocolat, sucre mascobado, guaranito.
Le commerce équitable rimera donc avec passons à table. Si vous le voulez bien.
UTL Françoise Roulet