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Ce jeudi Gérard Carré à signé son polar Tarmac Blues à l’Arbre à Feuilles,

Bien calé académiquement  dans son fauteuil, entouré par les siens et ses copains copines lamastrois, à l’abri sous le bel auvent de la Librairie indépendante lamastroise l’auteur a pu échanger avec lecteurs et acquéreurs tous acquis à son écriture.

Autour de l’inévitable verre convivial on a pu apprendre que tous les espoirs étaient permis pour que son œuvre « Tarmac Blues » fruit d’un long travail d’écriture fasse « probablement » l’objet d’une adaptation  cinématographique, Gérard reprenant alors son chapeau ou sa casquette de scénariste, à suivre donc ….

et dépêchez vous de le lire, il est en vente libre chez Myriam.

RB , polarisé.

Lectures d’été.

Les lamastrois aiment écrire, ils sont nombreux à avoir publié des livres d’histoire, Jean Claude  Bouvier, Elisée  Charra, Henri Montagnon, Charles du Besset , Jean Mazabrard, Joseph Mazard, Fredéric  Nodin , André Pagès , Gaston Pont, Auguste Roche,  Charles et Michel Seignobos, Régis Tartary , Louis Ferdinand Ducros,  et plus récemment Paul Bouit, Hervé Rouveure, Disandro père ou fils, Pierre Brun ; la liste n’est pas close et est complétable.

En ces temps de post confinement 3 auteurs nous offrent de la lecture, ils sont soit Lamastrois , soit  ont des origines et des attaches solides avec notre canton.

Ce sont de bonnes lectures d’été.

A tout seigneur tout honneur, Gérard Carré qui a des origines et sa maison familiale du coté de la famille Sizard, Gérard est un multi récidiviste de l’écriture et du scénario, son dernier livre «  Tarmac Blues » est un polar à dévorer  en s’accrochant  à toutes les références socio économiques et historiques, bien calé dans son fauteuil  avec au choix  une bonne bière désaltérante et/ou un rosé bien frais apéritif, une partie de l’histoire passe par chez nous, tout à déguster d’un seul trait  sans pause ni modération.

Ensuite le régional de l’étape Christian Chosson dont les proches connaissent sa propension  à réfléchir et à  produire de l’écrit et qui s’ouvre à nous dans un « mes états d’âme » qui surprend celles et ceux qui le connaissent superficiellement, superficialité dont il s’ouvre en rêve sur des réalités. Un livre qui révèle un sensible.

Et pour finir le livre d’Eliane Piot Battu qui a de solides attaches historiques avec Désaignes. Sa famille a participé à la réalisation de la plus belle page d’histoire de cette cité en y attirant François Binoche aux heures sombres  de l’occupation et exaltantes de la résistance, avec le résultat que l’on sait. Un livre au titre énigmatique où se croisent amour, aventure, et Histoire, un livre qui fait du bien, à l’autrice et au lecteur. La clef est à l’intérieur.

R B, lecteur sous l’arbre.