Articles avec le tag ‘quinquina’
Un lecteur que je ne connais pas personnellement a fait passer ce commentaire suite à l’article sur les bienfaits du quinquina, et sur l’Institut Vivarois Infection du un avril, je le mets en ligne en le remerciant de son adhésion contributive
Ah que voilà du bon savoir vivre, dans la bonne humeur…en ce doux pays Lamastrois…
L’esprit carabin, ne saurait se perdre.
Un bon clin d’œil, à l’exode rural qui vide nos traditions.
Toubib, or, not toubib ! Drame d’existence en nos campagnes.
Car autrefois,
Dans tous les « foyers », ( pas d’infection, ceux de l’âtre ) nous savions pratiquer, fabriquer la Quintonine…enfants nous en avions l’initiation à l’apéritif, pendant que les grands utilisaient d’autres « fioles » …alambiquées : Avec les extraits « Noirot » pour les dames et d’autres plus anisées « colportées » sur les marchés et champs de foire, pour les messieurs.
« Cordes…pierres à briquet…tu veux…. » ah ! sous la blouse du maquignon de la débrouille…
Au niveau national ? Dans les années 1950…un monument…publicitaire avec le cyclisme ! le malicieux Italo-Stéphanois, Raphael Geminiani…avait promotionné .le Saint-Raphaël Quinquina…associé à Gitane ! Ainsi qu’aux Grands prix de la montagne : « Gauloises longues »…puis le chocolat Poulin…des narco-caravaniers ! Ce même Géminiani qui fut sauvé de la Malaria contractée en Afrique, par la quinine, alors que Fausto Coppi, mourut, faute d’en avoir accepté la prise. Juste retour sur investissement, pour le « grand fusil ».
Les coloniaux luttaient contre le « palud », avec la quinine, fortement associée aux fermentations d’orges Écossais, ou, autres préparations Charentaises : pas les pantoufles…les eaux qui coulent des chaudières spécifiques du côté de Cognac.
Le tour de France perdure à ces informations de hautes importances, au bon peuple ébahi au bord des routes.
Ardéchois, aujourd’hui, nous sommes rassurés avec Cochonou !
Les valeurs sportives s’associent à ces découvertes énergisantes…
Paul Ricard, n’avaient pas encore tracé son grand prix de France…pour la surenchère…et les coupes européennes de rugby le développement des flots de cervoise, non plus.
Heureusement, l’Ardèche vertueuse, prodigue ses eaux minérales, effervescentes, ou plates, et, même ses sources miraculeuses en terre de St Régis.
Alors, professeur, ça vous gratouille, ou, ça vous chatouille ?
Votre cercle œnologique, saura vous soutenir dans vos recherches, se souvenir qu’un St Joseph se nommait à l’origine le vin de Mauves…
La vertu, par les plantes…Nos bons moines ne s’y trompèrent pas…
Et Rabelais ne fut-il pas Tournonais, en son temps…
Au reveire,
Jean-René
Le Professeur RTioub, impliqué depuis des années dans le domaine sanitaire dans notre doux territoire est confronté comme tous les soignants à la pandémie COVID 19 que nous subissons.
Fort de son expérience professionnelle, de sa connaissance et de son goût partagé mais heureusement séquentiel de la molécule phare de la lutte contre la propagation virale à savoir le C2H5OH il s’est lancé avec une certaine discrétion dans une expérimentation prometteuse.
Son cabinet restant dédié aux patients non symptomatiques il a pu annexer un bâtiment proche qui a fait office de laboratoire de ce tout nouvel Institut Vivarois Infection.
Partant de la molécule C2H5OH et du produit actuellement testé dans les CHU, la quinine, il s’est résolu à tenter une expérimentation préventive d’abord sur des amis volontaires de son club œnologique lamastrois qui, ne pouvant se réunir physiquement, ont pu collaborer par télé réunion Skype.
Le principe de base a été de mélanger la quinine prometteuse et la molécule C2H5OH déjà présente dans la SHA (Solution Hydro Alcoolique).
La SHA est réservé à un usage externe, l’idée que l’on peut qualifier d’intuition géniale a été de mélanger quinine et C2H5OH sous forme d’éthanol liquide.
En réfléchissant il a rapidement redécouvert un produit « vieux comme le monde » longtemps utilisé pour guérir les petits maux de tous les jours, et surtout l’ennui: Le quinquina.
La rapidité de mise en place s’est faite grâce à l’amabilité du producteur historique du produit situé dans les Pyrénées Orientales qui a accepté de collaborer avec enthousiasme au projet, surtout quand il a appris que le centre d’expérimentation ardéchois était tout a fait adapté à cette étude.
Voici une photo du tout nouveau centre de recherche « Institut Vivarois Infection » avec tous les volontaires pour l’essai en charge.
Le mélange C2H5OH et quinine par voie buccale constitue donc la panacée alliant les bienfaits cumulés des deux molécules dans la lutte contre les virus. L’éthanol a des vertus décontractantes et la quinine anti fièvre, son effet convivial obtenu rapidement a été validé lors des réunions Skype.
Le confinement entraine des conséquences psychologiques avec le psychotage qui s’installe et contre lequel il faut impérativement lutter.
Le professeur RTioub nous a reçus dans son bureau pour nous montrer le fruit de sa découverte. Les essais s’étendent et sont en cours d’évaluation dans les pays européens, les pays anglo saxons et toute l’amérique latine enthousiaste car la quinine en est originaire, par contre les pays du proche et moyen orient n’ont pas encore validé tous les ingrédients.
On ose espérer pouvoir crier rapidement « hallali » contre le virus.
Donc à vos fioles pour un bon traitement préventif : une fiole matin midi et souper le temps du confinement et pendant encore 6 mois après cette période. Cette sortie de confinement est une préoccupation majeure de nos gouvernants et du comité scientifique; le quinquina redécouvert à Lamastre va permettre une sortie de crise en douceur et dans la bonne humeur. Il est en vente libre et disponible. Le site de production est situé en France dans les Pyrénées Orientales sans délocalisation possible.
« Restez à votre place ».
Professeur RTioub. Publication validée le un avril 2020.